L’excès de mortalité imputable à la pollution de l’air ambiant serait en fait de 790 000 au niveau continental, dont 659 000 au sein de l’UE, assurent les auteurs de l’étude dirigée par une équipe de chercheurs allemands de l’Institut Max-Planck de chimie. Résumé en anglais. Le rapport en anglais
Dans un précédent rapport publié en octobre 2018, l’Agence européenne de l’environnement concluait que l’exposition aux particules fines (PM2,5, de diamètre inférieur à 2,5 micromètres), principalement, était responsable d’environ 422 000 morts prématurées (avant l’âge de l’espérance de vie) dans l’ensemble des quarante et un pays européens, dont 391 000 dans les vingt-huit États membres de l’Union européenne (UE).
Voir l’article de Presse océan
Depuis le début de l’année le bassin grenoblois a été particulièrement affecté par les niveaux élevés de concentration de particule fine en lien avec le chauffage et le trafic routier. La météo a aggravé la situation par la persistance d’un anticyclone obligeant la préfecture à déclencher quatre dispositifs de prévention depuis le début de l’année.